Léona Motquin, dernier chef d'état-major des Partisans Armés (P.A.) avant la Libération de la Belgique en septembre 1944.
Issue d’un milieu modeste, Léona Motquin est née à Trazegnies, le mercredi 14 octobre 1909. Elle est le fruit de l’union d’Hilaire Motquin et d’Alphonsine Patron. Son père était mineur.
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Léona Motquin en 1957 - ©Doc. CarCob (Bruxelles) |
Toute jeunette, Alphonsine fut hiercheuse (ouvrière de charbonnage) avant d'être servante. Pendant les études de ses enfants Léona et Arsène, elle devient femme d'ouvrage.
Dans une de ses présentations biographiques datée du 10 août 1954, Léona écrit : " Je suis fille et petite-fille d'ouvriers mineurs tant du côté maternel que du côté paternel. J'ai connu la pauvreté et à certains moments la gêne durant mon enfance et mon adolescence (multiples accidents de mon père - salaires bas)". Mais, elle précise : "milieu familial uni affectivement".
Les familles Motquin-Patron sont très actives politiquement et syndicalement.
En effet, le grand-père maternel de Léona est un des premiers membres du syndicat socialiste et il a participé à toutes les luttes ouvrières. Sa fille Alphonsine fut toute jeune militante-propagandiste avec une conscience de classe très aiguë.
Son père Hilaire est membre du P.O.B. et syndiqué socialiste. Il a également participé à toutes les luttes ouvrières. Mais, il n'a jamais été un membre actif du parti.
Le mercredi 13 septembre 1911, Léona devient la sœur aînée d'un petit Arsène(1) qui sera le sujet d'un article ultérieur et dont nous reparlerons également lors d'un article consacré à Victor Paindaveine(2).
Après ses études secondaires (3), Léona entreprend des études de régente scientifique - régente d'ouvrages manuels à l’École normale moyenne de l’État à Liège. Et pendant ses vacances scolaires, elle fait des travaux de broderie et de couture pour les employeurs de sa maman. Léona termine son cursus scolaire en fréquentant le laboratoire de chimie qualitative à l'Université du Travail de Charleroi.
Léona finit ses études en 1929 et reste un an sans emploi. Dès sa sortie de l’École normale, elle s'affilie au syndicat socialiste de l'Enseignement. Et dans la foulée, elle adhère aux Faucons rouges (P.O.B.) sans pour autant militer politiquement.
Ensuite, elle enchaîne divers intérims comme institutrice primaire dans différentes écoles de la région. En 1931, elle trouve enfin une place stable de régente à l’École moyenne de Gosselies où, elle enseigne les mathématiques.
Quoique d'opinion socialiste depuis son adolescence, c'est seulement après avoir terminé ses études qu'elle adhère aux Faucons rouges (4). D'abord, à l'échelon local avant de s'investir au niveau régional.
Chez les Faucons rouges, Léona assume la rédaction de leur bulletin régional , la partie éducative des week-ends d'études et des camps régionaux.
Nous pouvons penser que c'est vers cette époque qu'elle fait la connaissance de son futur époux Victor Paindaveine (3), membre des Jeunes Gardes Socialistes (J.G.S.) de Trazegnies dont elle se séparera en 1942. La date de leur mariage ne nous est pas connue.
Victor Paindaveine en 1934 - ©Institut Émile Vandervelde (Bruxelles) |
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En septembre-octobre 1940, Léona assiste à des rencontres avec des membres socialistes du P.O.B. à son domicile avec son mari Victor Paindaveine, à une réunion nationale des J.G.S.U. et une réunion avec les communistes Henri Glineur et P. Bosson [sic. Par la suite, elle écrira à ce sujet : "J'ai été fortement impressionnée par la veulerie et l'arrivisme des socialistes et d'autre part par l'esprit de décision + les perspectives des communistes et par après leur courage dans la lutte. Ce n'est cependant qu'en juin 1942 que j'ai adhéré au Parti [Communiste] et ce après avoir vu les événements de mai 1942 à Charleroi et après avoir lu et relu les "Principes du Léninisme". Cette lecture a emporté mes dernières hésitations qui étaient du domaine théorique..."
A ce moment-là, Léona adhère au P.C.B. mais n'est pas encore entrée en Résistance mais, elle aide indirectement son époux Victor comme courrier occasionnel, en mettant leur maison à la disposition des résistants, ...
Laissons une fois de plus la parole à Léona : "En juillet 1942, après une 2e visite de la Gestapo pour rechercher V. Paindaveine, nous passons dans l'illégalité. Je suis mise au travail illégal au début août par Jean Terfve".
Dans l'interview accordée à José Gotovitch en 1985, elle précise qu'elle s'est rendue à Quevaucamps dans le Tournaisis.
C'est ainsi que pendant l’été 1942, Léona est chargée de trouver des logements, des boîtes aux lettres et des lieux de rendez-vous pour son réseau dans le Borinage. Elle est également responsable du service sécurité du F.I. du Borinage.
Quand à Victor Paindaveine, il est le responsable régional du F.I. borain. De temps à autre, les époux Paindaveine-Motquin sont en contact quoique déjà en instance de divorce.
Fin 42, Léona est envoyée à Liège où, elle rencontre Andrée Terfve. Celle-ci met Léona en rapport avec le milieu enseignant liègeois. A Liège, Léona assume les mêmes fonctions qu'au Borinage sous le nom de Lisette.
Ensuite, direction Bruxelles. Arrivée au lieu de son affectation provisoire, Léona se rend au logement que lui a trouvé son contact bruxellois Prévot. Parvenue à destination, elle dit le mot de passe convenu mais, on ne la laisse pas entrer. Il va s'en dire qu'elle ne demande pas son reste et s'en va. Par la suite, elle choisira elle-même ses planques.
Ensuite, retour à Liège. En juillet 43, elle rencontre Buch qui la charge d'organiser la coupure du réseau avec Bruxelles suite à des arrestations au journal Le Drapeau Rouge,... Léona règle le problème en une semaine malgré la complexité de la chose vu qu'il y avait six à sept responsables à contacter.
Quelques semaines plus tard, la liaison entre les deux secteurs est rétablie. Léona passe des F.I. aux Partisans Armés (P.A.) et devient responsable nationale pour la sécurité.
Notons au passage qu'Hilaire et Alphonsine, les parents de Léona quittent Trazegnies pour s'installer à la rue Neuve à Souvret.
Précisons qu'eux aussi font partie du Front de l'Indépendance. Parmi leurs activités clandestines : hébergement de l'imprimerie pour le journal des F.I. et centre régional de diffusion de la presse clandestine, recherches de relais pour l'évasion des prisonniers soviétiques.
Hilaire et Alphonsine adhéreront au Parti communiste après la Libération. Malgré leurs âges, ils militeront dans la mesure de leurs possibilités. C'est surtout Alphonsine qui restera active en distribuant le Drapeau Rouge et en étant une propagandiste enthousiaste.
Début 44, Léona est affectée définitivement à la CAPITALE mais, elle loge à Anvers. A Bruxelles, elle occupe différentes fonctions au sein des P.A.
Elle est notamment chargée d'établir une chaîne de passage pour la libération du territoire. A ce sujet, elle dira : "Je devais trouver 45 à 50 logements de passage depuis la frontière française jusqu'à la frontière allemande. Ils n'ont jamais servi parce que la libération ne s'est pas du tout faite comme les P.A. l'espéraient..."
Après cela, Léona devient la secrétaire de Willy Frère, chef d'état-major national des P.A. Leurs relations de travail sont cordiales au point qu'ils mangent ensemble le midi. Le premier arrivé au bureau prépare le repas. Cela n'est pas du goût de tout le monde et la remarque est faite à Frère qu'on ne devait pas manger avec sa secrétaire.
L'entente entre eux est tellement bonne que c'est Léona qui dicte les rapports et courriers et c'est Willy Frère, étant meilleur dactylographe, qui les tape à la machine.
A l'époque, le nom de code de Léona est Nora. Elle habite désormais à Bruxelles. Elle est notamment chargée d'établir les contacts avec les différents services, de transmettre les ordonnances et les consignes pour les actions à mener, ...
Début juin 44, Willy Frère devient officier de coordination et c'est Louis Van Brussel qui devient chef d'état-major. Et comme, il adore taper à la machine à écrire... La collaboration Léona -Van Brussel ne durera qu'une semaine.
Un des rôles de Léona est aussi d'assurer la sécurité de son chef d'état-major quand il se rend à un rendez-vous avec le commandant national. Elle a pour mission de reconnaître les lieux.
En juillet 1944, c'est un peu par hasard que Léona devient chef d’état-major des
Partisans armés. En effet, Louis Van Brussel vient d'être désigné comme chef d'opération. Mais, il n'est pas remplacé comme chef d'état-major. Laissée à elle-même, c'est par la force des choses que Léona succède à Van Brussel jusqu'à la libération. Cela sera confirmé par un écrit de Raymond Dispy.
Louis Van Brussel se gardera bien de signaler la chose dans ses mémoires laissant supposer ainsi qu'il avait assuré cette fonction jusqu'à la libération du pays.
En tant que chef d'état-major, Léona s'occupe de recenser les stocks d'armes et de munitions, leurs emplacements, ...
Elle doit également prendre contact avec les organes de presse pour qu'ils écrivent en faveur de l’insurrection. Elle collecte des renseignements qu'elle fait remonter jusqu'à Raymond Dispy. Elle s'occupe également de l'intendance : récolter des fonds pour acheter du matériel, ...
A aucun moment, elle n'a pas de contacts directs avec les groupes de partisans ou leurs chefs.
Le pays libéré, elle redevient secrétaire des différents chefs d'état-major qui se succèdent.
A la rentrée scolaire de 1944, Léona rentre dans le rang et reprend ses cours à l’École moyenne de Gosselies et devient militante syndicale pour l'Enseignement.
En même temps, elle assume bénévolement le poste d'"Agit prop" à la Fédération communiste du Centre tout en militant, dans la mesure du possible, à la section souvrétoise du Parti communiste.
De
1945 à 1947, elle dirige, avec Samuel Herssens, l’École centrale
du Parti communiste de Belgique à Rixensart.
Suite aux élections de 1946, les candidats de la liste communiste, Léona et Louis Drugmand sont élus conseillers communaux à Souvret où, notre tête de liste est domiciliée. Dans la foulée, Léona est élue conseillère provinciale du Hainaut.
Il est à noter que ce n'est pas de son plein gré qu'elle s'est retrouvée sur les listes pour la Province. En effet, dans une lettre datée du 20 février 1946 adressée au camarade Edgar Lalmand, secrétaire national du Parti, elle avait fait part de son refus de siéger à la Province.
Affiche annonçant un meeting électoral 1946 - © Doc. IHOES (Jemeppe-sur-Meuse) |
Cependant, Léona éprouve des difficultés à assumer ses mandats politiques car en réalité, elle habite Bruxelles et la direction de son école ne l'autorise que très difficilement à assister aux Conseils communaux. C'est pourquoi un an après, elle désire jeter l'éponge et abandonner ses mandats politiques. Elle fait donc part au Parti de sa décision de démissionner. Sa démission sera acceptée au cours de l'année 1948.
A ce sujet, elle écrira plus tard qu'elle pense avoir eu tort d'avoir demandé son remplacement au sein du Conseil communal de Souvret. D'autant plus, qu'elle viendra passer la fin de sa vie avec son second mari Samuel Herssens au numéro 38 de la rue Neuve à Souvret.
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Liste des Électeurs... pour 1974-1976 - Collection L. Heuchon |
Lors du Congrès du Parti communiste de 1946, Léona est élue au Comité Central du Parti (C.C.P.).
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Willy Frère, André Chappat, Léona Motquin - Photo "Le Drapeau rouge" ©Doc.CarCob (Bruxelles) |
A partir de janvier 1947, elle est adjointe au Collectif National A.P. pour l'éducation et les journaux locaux et d'entreprises.
A la rentrée scolaire du 15 septembre 1947, elle obtient son changement d'affectation pour l’École moyenne de Wavre où elle donne cours de géographie. Elle redevient rapidement militante syndicale et fait partie du Comité syndical cantonal. Ses collègues l'élisent déléguée sociale de l'école et est proposée comme membre de la Commission nationale paritaire. Cette fois, Léona donne cours de géographie
Au parti, elle demeure responsable éducation de la Fédération du Brabant. et membre du Comité fédéral de Bruxelles. Et, elle devient agent de liaison pour les sections du Parti communiste d'Evere et Saint-Gilles.
Les 10 et 11 octobre 1947, les Fêtes du Drapeau Rouge et la Commémoration Jacquemotte sont célébrées au Heysel à Bruxelles. Outre, Léona Motquin et son compagnon Sam Herssens sont également présents les frères Henri et Georges Glineur ainsi que Julien Lahaut.
Au centre de la photo : Samuel Herssens et Léona Motquin (manteau noir) - ©Doc. CarCob (Bruxelles) |
Lors du Congrès du Parti en mai 1948, Léona est élue membre du Conseil fédéral de Bruxelles.
Le 5 novembre 1950, Samuel Herssens et Léona assiste à la Fête du Drapeau Rouge à Bruxelles. A cette occasion, des milliers de militants et sympathisants communistes défilent devant les membres du Comité central présents avec d'autres sur le parvis de la Bourse.
2ème rang à gauche : Léona Motquin et Sam Herssens - ©Doc. CarCob (Bruxelles) |
En avril 1951, Léona quitte l'enseignement pour entrer dans l'appareil national AP-Éducation du P.C.B. en qualité de bénévole jusqu'en février 1952. Dans le même temps, elle est déléguée du CC pour la Fédération de Huy avant d'assumer la même fonction à Tournai.
Lors du Congrès du Parti Communiste de 1951, Léona est élue membre du C.C.P. Mais par manque de temps et pour raison de santé, elle quitte son poste de déléguée du C.C. de Tournai.
C'est également en 1951 que Léona épouse en secondes noces Samuel Herssens dont elle partage la vie depuis 1945.
Samuel Herssen - © Doc. CarCob (Bruxelles) |
Du 23 au 26 mars 1951, elle participe avec Samuel Herssens au 10ème Congrès du P.C.B. - Fédération du Brabant à la salle de la Madeleine à Bruxelles.
De gauche à droite : Félix Coenen, Louis Van Brussel, Jean Blume, Odile Berghmans, Léona Motquin, Sam Herssens, Stan Tytgat, Albert Mathieu, Rose Jadin - ©Doc.CarCob (Bruxelles) Au C.C.P. de mai 1954, elle est désignée comme secrétaire du C.C.P. et le Bureau d'organisation lui confère le poste de déléguée du C.C. pour la Fédération de Mouscron. |
Dans une lettre datée du 28 septembre 1959 et adressée à Jos Herman, Léona demande des éclaircissements quant à la dissidence qui avait éclaté à la section du P.C.B. montois lors des élections communales de 1958 et de l'exclusion de plusieurs membres du Parti (Fernand Lefebvre(6), son épouse Lucienne Raepsaet, Dequenne et Scrayens) qui en a découlé et de leur demande de réintégration au sein du Parti.
Dans les faits, Fernand Lefebvre et consorts avaient déposés une liste électorale dissidente et avaient tenu des propos désobligeants vis-à-vis du P.C.B. et de certains de ses membres.
Léona conclut son rapport sur l'affaire en confirmant la décision d'exclusion des dissidents. Cette exclusion fera l'unanimité au sein du Comité national. Même, si quelques uns émettrons un vote plus en nuances.
Léona ne sera plus réélue au C.C.P. lors du 14ème Congrès du P.C.B. qui eut le week-end de Pâques 1963.
Après ce congrès, il semble que la camarade Léona Motquin ne remplisse plus de fonctions au sein du P.C.B. car, son dossier personnel conservé au CarCob à Bruxelles ne contient pas de documents après cette date.
Néanmoins, il semble qu'elle soit restée militante communiste jusqu'à la fin de sa vie.
Le dimanche 2 juillet 1972, Léona devient veuve.
Par la suite, en date du vendredi 20 septembre 1973, elle accorde une interview au sujet des Partisans Armés et du P.C.B. à José Gotovitch, chercheur au Centre de Recherches et d’Études Historiques de la Seconde Guerre Mondiale (CREHSGM)(7).
Pour terminer, signalons que la camarade Léona Motquin était présente lors de l'inauguration des locaux de la "Fondation Joseph Jacquemotte" à Trazegnies en 1980.
Nous ne connaissons pas la date de son décès.
Remerciement : Un tout grand merci à Mme Anne-France Hannon, Archiviste au CarCob pour l'aide apportée ainsi qu'à Monsieur José Gotovich, professeur honoraire de l'U.L.B.
Notes :
(1) Arsène Motquin : ingénieur technicien-électricien (U.T.). Écrivain et parolier écrivant essentiellement en wallon, il fut résistant. Il termina sa carrière professionnelle comme directeur de la S.T.I.C. Il est décédé le 20 mars 1986. Sympathisant communiste
(2) Victor Paindaveine : Trazegnies, le 27 mai 1909 - Etterbeek, le 17 février 1987. Membre du P.O.B. et président des "Jeunes Gardes Socialistes" de Trazegnies, il entre dans la clandestinité en 1942 et adhère au P.C.B. Premier époux de Léona Motquin.
(3) Pour leurs études, Léona et Arsène ont bénéficié du "Fonds des Mieux Doués", créé par Jules Destrée le 15 octobre 1921. Le "Fonds des Mieux Doués", première forme des allocations d'étude était destiné à « procurer aux enfants de condition peu élevée et de mérite exceptionnel, les moyens de poursuivre leurs études après l’école primaire".
(4) Le mouvement socialiste des Faucons rouges trouve ses origines à Vienne, capitale autrichienne en 1925. Son nom lui a été trouvé par une bande de gamins jouant dans un parc. Mais, le véritable créateur se nomme Anton Afritch qui était orphelin et ouvrier. Le mouvement belge fut créé en 1928.
(5) Samuel Herssens dit Sam : Bruxelles, le 8 mars 1905 - Souvret, le 2 juillet 1972. Ouvrier typographe, il succédera à Joseph Jacquemotte à la Chambre en 1936. Résistant, il sera arrêté et déporté à Buchenwald. Il fut rédacteur au "Drapeau rouge". En 1964, il quitte le P.C.B. pour rejoindre la dissidence "grippiste".
Éléments biographiques :
Centres de documentation :
CArCoB - Centre des Archives communistes en Belgique
33, rue de la Caserne
1000 Bruxelles
Belgique
Téléphone : 02/513 61 99 et 02/513 15 83
http://www.carcob.eu
Photothèque,
Dossier Léona Motquin : alias Lisette, Nora, Bruxelles n° 1674,
31 pièces
CegeSoma
Square de l'Aviation 29
1070 Bruxelles
+ 32 2 556 92 11
contact : cegesoma@arch.be
IHOES asbl
Avenue Montesquieu, 3
4101 Jemeppe-sur-Meuse
+32 4 224 60 70
Contact : info@ihoes.be
Institut Emile Vandervelde (IEV)
Centre d'archives
boulevard de l'Empereur 13
1000 Bruxelles
+ 32 548 32 12
Contact : bibliothe@iev.be
Bibliographie succincte :
Destrée, Jules
Loi relative aux mieux doués du 15 octobre 1921
In,
Moniteur belge du 11 novembre 1921.
Gotovitch, José
Interview 20/9/1973 concernant les Partisans Armés et le P.C.B : transcription papier
. - Bruxelles : Cegesoma, 1973
. - 25 p.
Du rouge au tricolore : les Communistes belges de 1939 à 1944 :
un aspect de l'histoire de la Résistance en Belgique
. - Bruxelles : CarCob, 20018
. - Léona Motquin : pp. 250-251
.- Samuel Herssens : p. 530
Partisanes et militantes : femmes communistes dans la Résistance en Belgique et en zone occupée
In,
Femmes et Résistance en Belgique et en zone interdite / sous la dir. de Robert Vandenbussche
. - Lille : Institut historique de Recherches du Septentrion, 2007
. - 246 p. - Léona Motquin : p.65
Maerten, Fabrice
Du murmure au grondement : la Résistance politique et idéologique dans la Province de Hainaut pendant la Seconde Guerre mondiale (mai 1940 -septembre 1944)
. - Mons : Hannonia, 1999
. - 3 vol. (1176 p.)
. - Léona Motquin : pp. 126-127
. - Victor Paindaveine : pp. 126-127
Auteur : Luc Heuchon ©
Reproduction partielle autorisée à condition de citer la source. Pour les documents et photographies émanant du CarCob, du Cegesoma de l'IHOES et de l'IEV reproduction interdite sans avoir obtenu leur autorisation.
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